Pourquoi 21th est incorrect malgré son apparence logique

L’anglais, avec ses subtilités et ses règles parfois déroutantes, réserve bien des surprises. Prenons par exemple la notation des nombres ordinaux. À première vue, écrire « 21th » semble logique, puisque « 21 » se termine par « 1 ». Cette forme est incorrecte. En réalité, les nombres ordinaux en anglais suivent des règles spécifiques. Pour les nombres se terminant par 1, à l’exception de 11, on utilise « st », ce qui donne « 21st ». Cette exception vise à préserver la fluidité et la tradition linguistique de la langue anglaise, bien que cela puisse paraître contre-intuitif.
Plan de l'article
histoire et origine des nombres ordinaux
L’origine des nombres ordinaux trouve ses racines dans l’histoire de la langue anglaise, mais aussi dans des pratiques mathématiques et statistiques. Les nombres ordinaux permettent de désigner la position d’un élément dans une série ordonnée. La forme correcte de ces nombres repose sur des traditions linguistiques et des conventions grammaticales précises.
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La statistique, discipline englobant les tests statistiques, est marquée par les contributions de figures éminentes telles que Ronald Aylmer Fisher, Jerzy Neyman et Egon Pearson. Ces statisticiens ont développé des méthodes qui, bien qu’initialement destinées à l’analyse des données, ont aussi influencé la formalisation des règles linguistiques pour assurer une précision et une clarté optimales.
- Ronald Aylmer Fisher : statisticien anglais, pionnier des tests statistiques modernes.
- Jerzy Neyman : mathématicien polonais, co-développeur du cadre de l’inférence statistique avec Pearson.
- Egon Pearson : fils de Karl Pearson, a collaboré avec Neyman pour affiner les techniques statistiques.
La statistique inclut les tests statistiques, outils essentiels pour évaluer les hypothèses nulles et alternatives. Ces tests utilisent des niveaux de signification, des probabilités et d’autres concepts mathématiques pour tirer des conclusions rigoureuses. Les contributions de Fisher, Neyman et Pearson ont façonné ces méthodes, soulignant l’importance d’une approche systématique et précise, tant en mathématiques qu’en linguistique.
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Les règles de formation des nombres ordinaux en anglais, bien qu’apparentes logiques, doivent être appréhendées avec rigueur. Cette rigueur trouve une analogie dans les méthodes statistiques où chaque détail compte pour garantir la validité des résultats. Dans ce contexte, la forme correcte « 21st » au lieu de « 21th » illustre l’importance de respecter les conventions établies pour éviter les erreurs et les malentendus.
les règles grammaticales des suffixes ordinaux
Les règles grammaticales des suffixes ordinaux en anglais ne sont pas arbitraires. Elles suivent une logique précise, dérivée de l’évolution linguistique. Les nombres ordinaux se terminant par ‘1’, ‘2’ et ‘3’ se voient attribuer les suffixes ‘st‘, ‘nd‘ et ‘rd‘, respectivement, tandis que tous les autres nombres utilisent ‘th‘.
Dans ce cadre, le 21e se traduit par ’21st’ et non ’21th’. Ce détail peut sembler trivial, mais il révèle l’importance des conventions langagières pour éviter les ambiguïtés. De même, les tests statistiques, qui évaluent des hypothèses nulles et des hypothèses alternatives, utilisent des niveaux de signification pour déterminer la validité des résultats.
Nombre cardinal | Nombre ordinal |
---|---|
1 | 1st |
2 | 2nd |
3 | 3rd |
4 | 4th |
21 | 21st |
Les tests statistiques impliquent des données construites pour évaluer des hypothèses. Ils utilisent des niveaux de signification, qui sont des probabilités majeures pour déterminer si les résultats observés sont dus au hasard ou à un effet réel. Cette précision mathématique trouve un écho dans la rigueur grammaticale requise pour les suffixes ordinaux.
La probabilité, en tant que concept, est centrale dans les tests statistiques. Elle permet de mesurer le risque de commettre une erreur en acceptant ou en rejetant une hypothèse. Tout comme un ’21th’ incorrect peut déformer la compréhension d’un texte, une mauvaise gestion des probabilités peut fausser l’interprétation des résultats statistiques.
pourquoi ’21th’ semble logique mais est incorrect
L’apparence de ’21th’ peut paraître logique à première vue. Cette erreur relève d’un sophisme linguistique. Effectivement, l’esprit humain tend à rechercher des patterns cohérents, même au détriment des règles établies. L’ajout systématique du suffixe ‘th‘ aux nombres ordinaux après ’20’ découle d’un raisonnement fallacieux qui néglige la spécificité des suffixes en anglais.
- ’21st’ pour le vingt-et-unième
- ’22nd’ pour le vingt-deuxième
- ’23rd’ pour le vingt-troisième
- ’24th’ pour le vingt-quatrième
Le raisonnement fallacieux repose sur une application incorrecte des règles de la langue. Ce type d’erreur, bien que compréhensible, souligne la nécessité d’une analyse rigoureuse des conventions linguistiques. Le même principe s’applique en statistique où une mauvaise interprétation des données peut mener à des conclusions erronées.
Gigerenzer, Elm’hamedi et Zaki ont chacun étudié les tests statistiques pour évaluer leur robustesse et ont montré comment des biais peuvent influencer les résultats. Rouanet, de son côté, a envisagé des méthodes bayésiennes, qui utilisent la probabilité pour offrir une alternative aux tests traditionnels.
La confusion entre ’21th’ et ’21st’ reflète une tendance humaine à simplifier les règles au détriment de la précision. Cette analyse met en lumière l’importance d’une compréhension approfondie des normes, qu’elles soient linguistiques ou statistiques.
outils et techniques pour éviter les erreurs courantes
L’évitement des erreurs courantes passe par une meilleure compréhension des données construites et des échantillons. En statistique, les tests s’appuient sur ces éléments pour évaluer la puissance statistique, le risque de 1ère espèce (faux positifs) et le risque de 2ème espèce (faux négatifs).
- Utiliser des données construites de manière rigoureuse permet de minimiser les biais.
- Choisir un échantillon représentatif est fondamental pour obtenir des résultats fiables.
méthodes bayésiennes et leur application
Les méthodes bayésiennes, envisagées par Rouanet, offrent une alternative aux tests traditionnels. Elles utilisent la probabilité pour actualiser les hypothèses en fonction des nouvelles données. Cette approche dynamique permet une évaluation plus flexible et précise.
le rôle de l’éducation
Elm’hamedi, travaillant dans le système éducatif du Maroc, souligne l’importance de la pédagogie pour inculquer les bonnes pratiques statistiques. Former les élèves dès le plus jeune âge aux concepts de puissance statistique et de risque contribue à réduire les erreurs de raisonnement.
Concept | Description |
---|---|
Puissance statistique | Capacité d’un test à détecter un effet réel |
Risque de 1ère espèce | Probabilité de rejeter une hypothèse nulle vraie |
Risque de 2ème espèce | Probabilité de ne pas rejeter une hypothèse nulle fausse |